Faboucan, contraction de Fabou, surnom d'enfance et Can, de l'anglais "spray can", bombe de peinture.

 

 Né en 1991 au pied du Garlaban, artiste urbain de garage, touche à tout/bon à rien, inspiré et bercé par la Provence de Pagnol et ses traditions, attiré par le rêve américain et ses ostentations. ​Quelque part entre Lili des Bellons et Allen Iverson.

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Une devise fétiche résume bien cette dualité : Aïoliwood, une allégorie aux accents rastafari, ou se mêlent un Zion provençal (Aïoli) et une Babylone moderne (Hollywood).

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Fa boucan, faire du vacarme ou faire "n'importe quoi" en provençal, clin d'œil au style artistique brut, imprécis, coloré et enfantin de mes œuvres pour lesquelles sont privilégiés peinture à la bombe, marqueurs et acryliques au couteau.

 

Au milieu de ce brouillon ambiant, une approche zen est également recherchée par l'éloge de l'imperfection dans un style wabi sabi réinterprété.

 

Enfin, mon "travail" est avant tout une distraction pour s'échapper, le temps d'un instant, du cadre et du tumulte de la vie quotidienne.

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Alors comme dirait l'illustre Russel Westbrook en provençal : Oaï not ?